C'est toujours un peu une "épreuve" que de faire une présentation.
Commençons donc par le bonhomme : Grenoblois de naissance et de toujours (c'est rare !), 42 bougies soufflées, marié et un junior de 6 ans. Passionné d'escalade et de tout ce qui roule avec un moteur à explosion et particulièrement de motocyclettes depuis quelques années. J'ai exercé diverses professions, de moniteur d'escalade à cordiste, puis journaliste, rédacteur en chef d'un magazine et, depuis deux ans, chef d'entreprise d'une agence de communication.
J'ai commencé en deux roues sur le tard avec un scoot 125 (un Piaggio MP3) pour mes déplacements pro en milieu urbain. Notez que j'avais bien commencé en choisissant une machine italienne !

Peu raisonnable de nature, je m'étais interdit de passer le A pour ne pas finir enroulé autour d'un arbre, broyé au fond d'un ravin ou encastré au cul d'un camion. Et puis, à 40 ans, je me suis senti prêt et surtout mon pauvre scoot souffrait trop du traitement terrible que je lui faisait subir en l'emmenant en longue balade (jusqu'à plus de 500 bornes à la journée) dans des territoires peu amènes pour lui. J'ai donc passé le A, obtenu en quelques semaines... Et c'est là qu'a commencé l'aventure moto !
Après l'humain, venons-en donc à la mécanique. Tant qu'à faire de passer le A, autant que ce soit pour une grosse cylindrée, une vraie ! Pas lopette pour un rond, j'avais jeté mon dévolu avant même l'obtention de mon permis sur une machine précise : une Suzuki 1800 VZR. C'est pour elle que je me suis coltiné des leçons de code et des slaloms entre les cônes ! Et j'ai eu la chance de pouvoir me l'acheter dès le permis passé. Depuis bientôt trois ans à son guidon, ce n'est que du bonheur, au fil des plus de 22.000 km déjà parcourus. Rien que poser mon cul dessus et la démarrer est une joie... Le poum poum d'un gros (très gros ! Très très gros !!) bicylindre, c'est quand même jouissif, surtout quand le bruit va avec...
Les contingences du quotidien urbain qui est le mien m'ont par ailleurs poussé à me prendre un engin plus pratique et je suis donc également au guidon d'un Aprilia 500 Sprint (encore une italienne !

Si je débarque "chez vous" Ducatistes, c'est que le Diavel me tape dans l'oeil depuis un bon moment et remplaçerait avantageusement mon tracteur qui est, il faut le reconnaître, peu à son aise dans les virolos alpins ! Alors comme c'est auprès des propriétaires et utilisateurs des machines qu'on obtient les meilleures infos, me voilà... Pour ma part, essai du Diavel prévu dans la quinzaine à venir !
Merci de m'accueillir parmi vous.