Bon, voilà, après une heure de mécanique en douceur cet après-midi, j'ai fini par remplacer mon boitier électronique et le filtre à air vendu avec le silencieux Termignoni.
Je ne voudrais blesser personne, mais pour ma part, avec un peu de méthode et de patience, j'ai réaliser l'opération très très facilement. Je ne me suis vraiment pas pris la tête.
Merci pour les conseils de certains d'entre vous, notamment ceux de FBO92.
Comme promis, je place quelques clichés du démontage, pour les motards comme moi, un peu frileux de se retrouver seul à démonter sa machine.
Démontage de l'écran supérieur.

L'écran retiré.

Les grilles des radiateurs latéraux.

L'écran inférieur.

Les 2 encoches de maintien du cache réservoir sur les écopes en alu.

Le cache réservoir en carbone retiré.

Le réservoir une fois levé.

Les broches de l'ECU.

L'ECU d'origine.

L'ECU d'origine à droite, et le modèle livré avec la ligne à gauche.

Maintenant le conduit d'air forcé droit nous intéresse...

Le conduit d'air une fois retiré (il tient par 3 écrous 4 pans).

Le filtre à air dans son logement.

Le filtre à air d'origine à droite, et l'origine à gauche. Ou est la différence à part la couleur...

Une fois l'ECU monté, apparait en mode "touring" et "sport", 162 low ou high, et en mode "urban" le logo 100hp.

Ma fierté...

Une pure merveille...

Voilà, maintenant je viens de faire une bonne centaine de kilomètres, et voici mes premières constatations.
Un régime plus stable, des accoups moins fréquents, un couple plus présent et une accélération plus franche. Les envolées dans les tours sont plus rapides. Je la trouve dorénavant plus douce à piloter.
Enfin, pour des raisons de sécurité, surtout sur Paris j'avais décidé de retirer les DB ciller, mais sans, elle fait un très beau bruit, mais j'étais certain de me faire arrêter.
J'ai donc opté pour un certain compromis. J'ai remis les DB killer, mais en les ayant privés d'une partie de leur corps. Résultat, bruit à l'échappement plus présent qu'à l'origine, mais sans obliger les gens à porter leur main sur leur coeur à mon passage (du vécu je vous assure).

Voilà, au plaisir messieurs,
Thierry