Un 4e album sort sans l'autorisation de l'auteur !
Violation de propriété artistique et non respect du droit moral

Même pas peeeur Tome 4 : vol sans SatoTous les motards ont suivi la création de la BD Même Pas Peeur par Sato, depuis les premières planches parues sur le Repaire des Motards en 2004, puis dans Desmo, Boxer Mag, MotoMagazine... On se souvient du coup de crayon et de l'humour de l'auteur associé à l'époque sur le Repaire avec Koud'pied o'kick pour illustrer les Kroniks.
Après avoir créé son album et démarché" les éditeurs, ce sont les éditions Joker qui avaient permis au dessinateur de voir sortir en 2007 son premier album Même pas Peeeur sous les presses... Et puis années après années, après un tome 2 en 2008 et un tome3 en 2009, l'auteur n'est pas payé comme il était prévu, les relations se détériorent jusqu'au départ de Sato des éditions Joker.
Cela aurait pu s'arrêter là, mais l'éditeur engage d'autres auteurs pour continuer la série, sans respecter la propriété artistique de Sato et en non respect total de son droit moral. On n'avait jamais vu cela dans l'univers de la bande dessinée ! Le droit est en effet différent en fonction des pays, et loin de la France où les auteurs sont bien protégés, les auteurs prennent des risques.
Du coup, on assiste à la sortie d'un Tome4... avec un goût d'amertume pour l'auteur qui crie "AU VOL" ! D'autant plus que l'éditeur revendique pour cela la paternité du titre... même si le contrat date de plusieurs années après les publications des premières planches de l'auteur.
Un appel au boycott des albums Même pas Peeeur courre donc dans le monde motard français... en attendant le prochain réel album de Sato dans Steeve Mc Twin.
source: le repaire des motards
sato.bd a écrit :Je confirme, ils m'ont bien volé ( terme exact d'après 2 cabinets d'avocats différents ) 7 ans de boulot, en violation totale de tout ce qui protége les auteurs (droit moral, code propriété intellectuelle ...).
C'est jamais vu encore, dans le milieu du 9eme art, c'est une première absolue, et manque de pot, comme ça se vendait, et ben c'est tombé sur moi, mais pas vu pas pris, pris