[ESSAI] Streetfighter 848
- Amour, Gloire et Beauté
- Âge : 45
- Localisation : 75 Paris
-
Sexe :
- Votre Ducati : 848 Streetfighter
- Localisation : Paris
Sujet : [ESSAI] Streetfighter 848
Comme Desmomarcus, j'ai également pu faire mon essai longue durée du Streetfighter 848.
Le RDV était pris hier après-midi à 16h30.
J'arrive à la concession Ducati de la Grande Armée environ 20min avant l'heure du RDV. Le temps pour moi d'apprécier la Panigale qui est de passage à la capitale.
Le commercial, très gentil, étant disponible avant l'heure, on commence par signer les papiers et le chèque de caution de 1500€. Puis direction la moto qui trône fièrement entre un 1198S et un Monster 1100.
La belle en essai est disponible dans sa robe jaune. Elle n'a pas beaucoup plus de km que lors de l'essai de Desmomarcus. Soit environ 200.
Le commercial me fait la démonstration de l'accès au réglage du DTC. Il est en mode 4. Etant donné le temps menaçant et les pneus neufs, on ne va pas y toucher.
On démarre la moto et là je suis évidemment déjà sous le charme. A peine démarrer, le voyant de la jauge à essence s'allume. Il faudra donc aller faire le plein avant toute chose.
J'enfourche la moto. Et comme je m'y attendais, la position à bord est étonnante.
Le réservoir sur mon Speed est assez large. On a les cuisses quand même assez écartées même si cela n'est pas gênant.
Sur la Streetfighter, la naissance du réservoir est très fine. C'est vraiment agréable d'avoir les jambes assez resserrées même si le gabarit de la moto n'est pas celui d'une pocket bike.
J'avais quelques appréhensions quant au freinage. Je décide donc de tester ça avant de prendre la route, le long de la concession. C'est finalement moins effrayant que je ne le pensais. Me voilà donc à redescendre l'avenue de la Grande Armée et ses pavés qui peuvent être traîtres. Déjà la gente féminine se retourne sur la moto (à moins que ce ne soit pour moi...). La moto ronronne et vibre. J'ai déjà le sourire aux lèvres. Effectivement, le côté ramassé de la moto surprend un peu au début. On distingue à peine l'optique avant et on aperçoit la pointe du garde bout.
Après avoir fait le plein (qui me sera remboursé ensuite par la concession), je décide de prendre le périph' pour aller du côté de Versailles par l'autoroute. Bien que la moto soit en rodage, j'avoue ne pas avoir trop pris de gants avec elle. Je m'insère vigoureusement et malgré le bridage et le pignon de 15, je dois bien reconnaître que la belle italienne a vraiment du coffre. La moto est volontaire et ne rechigne vraiment pas à cavaler à bas régime jusqu'à 6000 tours, régime de croisière sur le périph'. Je slalome facilement entre les voitures. On sent quand même nettement la différence de poids entre mon Speed et ses 225kg et cette Streetfighter. La moto reprend bien même lorsque je ralenti et que j'oubli de descendre d'un rapport. A ce stade, j'ai déjà le sourire jusqu'aux oreilles. Je parle tout seul dans mon casque en criant quelque chose du genre: "Mais put***, ça tue. C'est génial. Vivement dans 3 semaines sa mère!!!!"
Sur l'autoroute je décide de taper un peu plus dedans pour monter vers 8000 tours. Même constat. Ça pousse toujours comme il faut. Je me cale à 120/130. Les voitures se poussent au son du bicylindre, me donnant l'impression d'une haie d'honneur. Il est temps de sortir. Me voilà à Versailles, fier comme un coq. Je m'arrête alors pour téléphoner à GS et lui faire part de ma vive émotion. Mais pas le temps de trop discuter, il me faut retourner à Paris. Je décide quand même de rentrer dans Versailles, histoire de. En usage urbain, avec les feux et les changements de rapport, je sens que l'embrayage me fait un peu travailler la main gauche. Bon, évidemment la moto est à peine rodée donc forcément ça n'aide pas. La boite est douce malgré quelques difficultés à trouver parfois le neutre. Je trouve aussi que la moto cogne un tout petit peu en bas du compte-tour. Je passerai donc très certainement sur un pignon de 14.
Il est temps de faire demi-tour, la bruine commençant à faire son entrée. Tranquille dans Versailles, je tape un peu dedans pour sur la bretelle d'insertion pour l'autoroute. C'est coupleux (autant que le Speed), y a de l'allonge et je la trouve décidément très maniable. Le retour sur l'autoroute se fait comme à l'aller. Je suis joie et vraiment, je prends mon pieds à chaque instant. Quel put*** de plaisir! Me revoilà revenu à Paris, je termine en faisant un tour de la place de l'étoile, histoire que la populace puisse admirer ce petit bijou italien.
Je dépose la moto non sans regret. La montée sur le Speed dans la foulée est vraiment déroutante. Plus droit, plus large, plus lourde. Ces quelques défauts qui ne se sont jamais trop fait sentir jusqu'à aujourd'hui se montrent pourtant évident lorsque l'on descend d'une heure sur un Streetfighter.
Bref, vivement que j'en prenne possession. Toutes mes craintes quand à la perte de cylindrée et de couple (même minime) se sont littéralement envolées. La moto en usage urbain est vraiment douce, maniable et légère et présente dès qu'on la sollicite. Elle ne demande qu'à être cravachée. C'est fantastique. Bref, me voilà conquit et je n'ai plus qu'une hâte, récupérer ma belle qui m'attend déjà!
Le RDV était pris hier après-midi à 16h30.
J'arrive à la concession Ducati de la Grande Armée environ 20min avant l'heure du RDV. Le temps pour moi d'apprécier la Panigale qui est de passage à la capitale.
Le commercial, très gentil, étant disponible avant l'heure, on commence par signer les papiers et le chèque de caution de 1500€. Puis direction la moto qui trône fièrement entre un 1198S et un Monster 1100.
La belle en essai est disponible dans sa robe jaune. Elle n'a pas beaucoup plus de km que lors de l'essai de Desmomarcus. Soit environ 200.
Le commercial me fait la démonstration de l'accès au réglage du DTC. Il est en mode 4. Etant donné le temps menaçant et les pneus neufs, on ne va pas y toucher.
On démarre la moto et là je suis évidemment déjà sous le charme. A peine démarrer, le voyant de la jauge à essence s'allume. Il faudra donc aller faire le plein avant toute chose.
J'enfourche la moto. Et comme je m'y attendais, la position à bord est étonnante.
Le réservoir sur mon Speed est assez large. On a les cuisses quand même assez écartées même si cela n'est pas gênant.
Sur la Streetfighter, la naissance du réservoir est très fine. C'est vraiment agréable d'avoir les jambes assez resserrées même si le gabarit de la moto n'est pas celui d'une pocket bike.
J'avais quelques appréhensions quant au freinage. Je décide donc de tester ça avant de prendre la route, le long de la concession. C'est finalement moins effrayant que je ne le pensais. Me voilà donc à redescendre l'avenue de la Grande Armée et ses pavés qui peuvent être traîtres. Déjà la gente féminine se retourne sur la moto (à moins que ce ne soit pour moi...). La moto ronronne et vibre. J'ai déjà le sourire aux lèvres. Effectivement, le côté ramassé de la moto surprend un peu au début. On distingue à peine l'optique avant et on aperçoit la pointe du garde bout.
Après avoir fait le plein (qui me sera remboursé ensuite par la concession), je décide de prendre le périph' pour aller du côté de Versailles par l'autoroute. Bien que la moto soit en rodage, j'avoue ne pas avoir trop pris de gants avec elle. Je m'insère vigoureusement et malgré le bridage et le pignon de 15, je dois bien reconnaître que la belle italienne a vraiment du coffre. La moto est volontaire et ne rechigne vraiment pas à cavaler à bas régime jusqu'à 6000 tours, régime de croisière sur le périph'. Je slalome facilement entre les voitures. On sent quand même nettement la différence de poids entre mon Speed et ses 225kg et cette Streetfighter. La moto reprend bien même lorsque je ralenti et que j'oubli de descendre d'un rapport. A ce stade, j'ai déjà le sourire jusqu'aux oreilles. Je parle tout seul dans mon casque en criant quelque chose du genre: "Mais put***, ça tue. C'est génial. Vivement dans 3 semaines sa mère!!!!"
Sur l'autoroute je décide de taper un peu plus dedans pour monter vers 8000 tours. Même constat. Ça pousse toujours comme il faut. Je me cale à 120/130. Les voitures se poussent au son du bicylindre, me donnant l'impression d'une haie d'honneur. Il est temps de sortir. Me voilà à Versailles, fier comme un coq. Je m'arrête alors pour téléphoner à GS et lui faire part de ma vive émotion. Mais pas le temps de trop discuter, il me faut retourner à Paris. Je décide quand même de rentrer dans Versailles, histoire de. En usage urbain, avec les feux et les changements de rapport, je sens que l'embrayage me fait un peu travailler la main gauche. Bon, évidemment la moto est à peine rodée donc forcément ça n'aide pas. La boite est douce malgré quelques difficultés à trouver parfois le neutre. Je trouve aussi que la moto cogne un tout petit peu en bas du compte-tour. Je passerai donc très certainement sur un pignon de 14.
Il est temps de faire demi-tour, la bruine commençant à faire son entrée. Tranquille dans Versailles, je tape un peu dedans pour sur la bretelle d'insertion pour l'autoroute. C'est coupleux (autant que le Speed), y a de l'allonge et je la trouve décidément très maniable. Le retour sur l'autoroute se fait comme à l'aller. Je suis joie et vraiment, je prends mon pieds à chaque instant. Quel put*** de plaisir! Me revoilà revenu à Paris, je termine en faisant un tour de la place de l'étoile, histoire que la populace puisse admirer ce petit bijou italien.
Je dépose la moto non sans regret. La montée sur le Speed dans la foulée est vraiment déroutante. Plus droit, plus large, plus lourde. Ces quelques défauts qui ne se sont jamais trop fait sentir jusqu'à aujourd'hui se montrent pourtant évident lorsque l'on descend d'une heure sur un Streetfighter.
Bref, vivement que j'en prenne possession. Toutes mes craintes quand à la perte de cylindrée et de couple (même minime) se sont littéralement envolées. La moto en usage urbain est vraiment douce, maniable et légère et présente dès qu'on la sollicite. Elle ne demande qu'à être cravachée. C'est fantastique. Bref, me voilà conquit et je n'ai plus qu'une hâte, récupérer ma belle qui m'attend déjà!
- Amour, Gloire et Beauté
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Sujet : Re: [ESSAI] Streetfighter 848
Tu m'étonnes.
J'en rêve la nuit!
J'en rêve la nuit!
- Amour, Gloire et Beauté
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Sujet : Re: [ESSAI] Streetfighter 848
Oui. Vivement que ton anglaise soit partie

- yul
- Ducati-Maniaque de plomb
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- Localisation : 89 Yonne
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Sujet : Re: [ESSAI] Streetfighter 848
La SF 848 cogne très peu .... essaie en 1098, tu veras ce que c'est cogné mdr
Content pour toi qu'elle te plaise autant
:pouce::pouce:
:pouce::pouce:



Content pour toi qu'elle te plaise autant






- Amour, Gloire et Beauté
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Sexe :
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Sujet : Re: [ESSAI] Streetfighter 848
Oui, je me doute bien.
Moi qui partait au début sur le SBK 848 Evo, je ne pense pas regretter mon choix avec le SF en usage quotidien/urbain.
Tu es passé sur un pignon de 14 malgré tout Yul?
Moi qui partait au début sur le SBK 848 Evo, je ne pense pas regretter mon choix avec le SF en usage quotidien/urbain.
Tu es passé sur un pignon de 14 malgré tout Yul?
- yul
- Ducati-Maniaque de plomb
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Sujet : Re: [ESSAI] Streetfighter 848
Non tjs en 15, comme elle cognait moins que la SF1098 en 14 j'ai pas trouvé utile d'en installer unAmour, Gloire et Beauté a écrit :Oui, je me doute bien.
Moi qui partait au début sur le SBK 848 Evo, je ne pense pas regretter mon choix avec le SF en usage quotidien/urbain.
Tu es passé sur un pignon de 14 malgré tout Yul?
- Amour, Gloire et Beauté
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Sujet : Re: [ESSAI] Streetfighter 848
Ok. D'accord.
- Testa64
- Apprenti Ducati-Maniaque
- Âge : 56
- Localisation : 64 Pyrénées-Atlantiques
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Sujet : Re: [ESSAI] Streetfighter 848







- Grand Schtroumpf
- Localisation : 78 Yvelines
-
Sexe :
- Votre Ducati : 1200 Diavel AMG
- Votre 2ème Ducati (optionnel) : 1100 Streetfighter V4 S
Sujet : Re: [ESSAI] Streetfighter 848






J'ai eu un gamin au téléphone à ce moment là.

AGB en train de crier "elle est géniale ! elle est géniale !" comme un môme pendant sa pause à Versailles.
Et moi je lui ai calmement répondu "normal, tu roules en Ducati maintenant. Je te l'avais dit.".




Content que tu sois (enfin) passé chez les italiens et que tu réalises à quel point tu vas te faire plaisir

Il faudra que je te la pique pour comparer avec la SF1098 et la souplesse.
Et comme toujours, bien écrit ce petit CR.


Tic Tac Tic Tac... ça va être looooooooooooooong

PS : Minindécis tu en es où ?



- Miniken
- Âge : 37
- Localisation : 91 Essonne
-
Sexe :
- Votre Ducati : 848 Streetfighter
Sujet : Re: [ESSAI] Streetfighter 848
Pneu AV changé le WE dernier pour la revente (l'AR a 2000km)Grand Schtroumpf a écrit :PS : Minindécis tu en es où ?![]()
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révision des 20k prévue samedi
grand nettoyage + photos dans la foulée
mise en vente dimanche soir




- Amour, Gloire et Beauté
- Âge : 45
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Sujet : Re: [ESSAI] Streetfighter 848
Cool cool cool.
Et donc, SF 848? Quelle couleur?
@Vic: Oui, j'étais hyper excité en fait. Il fallait que je communique ma joie à quelqu'un qui comprendrait
Et donc, SF 848? Quelle couleur?
@Vic: Oui, j'étais hyper excité en fait. Il fallait que je communique ma joie à quelqu'un qui comprendrait

- Amour, Gloire et Beauté
- Âge : 45
- Localisation : 75 Paris
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Sexe :
- Votre Ducati : 848 Streetfighter
- Localisation : Paris
Sujet : Re: [ESSAI] Streetfighter 848
Cool




- Amour, Gloire et Beauté
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Sexe :
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Sujet : Re: [ESSAI] Streetfighter 848
Bah comme toi, finalement j'ai passé commande avant de l'essayer.
J'ai juste eu une opportunité que je me voyais mal refuser
J'ai juste eu une opportunité que je me voyais mal refuser
