Pourquoi vendre une SF avant la fin de son rodage ?

Le coin détente. Ici on parle de tout, de rien, de la pluie, du beau temps et parfois de moto... et dans la bonne humeur.
Sharky
Ducati-Maniaque de plomb
Avatar de l’utilisateur
Âge : 60
Localisation : 94 Val-de-Marne
Sexe : Masculin
Votre Ducati : 1098 Streetfighter
Votre 2ème Ducati (optionnel) : 1200 Multistrada S Touring
Localisation : 94 - Vincennes

Sujet : Re: Pourquoi vendre une SF avant la fin de son rodage ?

lun. 7 mars 11 01:07

paul a écrit :Moi je trouve que une petite sortie de piste en débutant est absolument parfait pour connaître la SF. Tu peux jouer avec, sans faire attention aux voitures, police, nid de poules, gasoil....... C'est l'endroit idéal pour la dompter cette bête, lui montrer qui est le patron (même si elle garde encore des réserves).

On n'est pas obligé de faire la course parce-que on est sur le circuit, on peut rouler pour apprendre et à se connaître (pilote et la moto) et si l'infinité même +.
+1 :)

Ca va faire 20 ans que je n'ai pas roulé sur un circuit et la dernière fois c'était en kart, mais l'envie monte, monte, monte ... :)

!Ben!
Apprenti Ducati-Maniaque
Avatar de l’utilisateur
Âge : 45
Localisation : 69 Rhône
Sexe : Masculin
Votre Ducati : 1098 Streetfighter
Localisation : 69

Sujet : Re: Pourquoi vendre une SF avant la fin de son rodage ?

lun. 7 mars 11 15:29

paul a écrit :Moi je trouve que une petite sortie de piste en débutant est absolument parfait pour connaître la SF. Tu peux jouer avec, sans faire attention aux voitures, police, nid de poules, gasoil....... C'est l'endroit idéal pour la dompter cette bête, lui montrer qui est le patron (même si elle garde encore des réserves).

On n'est pas obligé de faire la course parce-que on est sur le circuit, on peut rouler pour apprendre et à se connaître (pilote et la moto) et si l'infinité même +.
+1098!
Un tour sur piste et on se rend vite compte du potentiel une fois qu'on a le bon mode d'emploi. Et il est carrément :shock: :shock:

Le problème c'est que dès qu'il faut pousser la bête sur route il faut conserver le même mode d'emploi. Bien l'enmener avec les jambes.
Je suis aussi d'accord sur le fait que c'est une moto très sensible au gomme que tu montes et aux pressions de pneus!
Plus que mon ex-hypermotard par exemple.

Enfin le moteur n'a rien a voir. Il faut aimer. Car le D4 et le D2 sont bien différents. Le gros du couple n'arrive pas du tout au même moment. :miam:

Valen
Ducati-Maniaque de plomb
avatar
Âge : 47
Localisation : 75 Paris
Sexe : Masculin
Votre Ducati : 1158 Multistrada V4 S Sport
Votre 2ème Ducati (optionnel) : Aucune
Localisation : Paris

Sujet : Re: Pourquoi vendre une SF avant la fin de son rodage ?

lun. 7 mars 11 16:33

Pour sortir d'un Speed triple c'est clair que y a un mode d'emploi et qu'au début tu te dit: merde soit elle tourne pas, soit t'as l'impression qu'elle plonge en virage...

Y a aussi le deuxième effet kisscool l'humilité avec le: "ok j'ai compris qu'on ouvrait pas en grand en sortie de virage avant d'avoir lu le manuel 3 fois"...

Enfin le troisième effet kisscool ou sur tes premiers gros freinage t'as l'impression que tes yeux vont toucher la visiere...

Mais bon malgré tout même si ce n'est pas une moto facile, je ne la trouve pas "vicieuse" du moment que tu es conscient que pour la majorité des gens (dont je fais partie) tes limites vont arriver avant celle de la moto.

Mais bon quel bonheur a conduire



:x

Ziol
Bébé Ducati-Maniaque
avatar
Âge : 48
Sexe : Masculin
Votre Ducati :
Localisation : Ponteves

Sujet : Re: Pourquoi vendre une SF avant la fin de son rodage ?

mar. 15 mars 11 02:58

Bon, merci pour toutes ces observations intéressantes. Comme rien ne remplace l'essai, je prévois ça un de ses quatres matins et je vous raconterai le coup de foudre ou non.....

fanfoi50
Membre d'honneur
avatar
Âge : 46
Localisation : 50 Manche
Sexe : Masculin
Votre Ducati : 1098 Streetfighter S
Localisation : 50

Sujet : Re: Pourquoi vendre une SF avant la fin de son rodage ?

mar. 15 mars 11 03:06

moi, je sens que tu vas craquer :D

Revenir à « Le bar pour les bavards »